La maternité n’est pas une performance
Laisser respirer plutôt qu’exiger
Plutôt que d’exiger qu’elles assurent, et si on leur demandait simplement : “Comment vas‑tu ?”
Et si on les laissait apprivoiser leur bébé à leur rythme, les yeux dans les yeux, sans pression ni performance ?
Les émotions invisibles
Il y a des larmes qu’on essuie en silence, des peurs qu’on n’ose pas dire tout haut. Il y a ce monde intérieur qui bouillonne, loin des clichés que l’on projette sur la maternité. La fatigue, les doutes, la charge mentale, les questionnements sur son corps, son rôle, ses choix… tout cela est normal et fait partie de l’apprentissage.
Ce dont une jeune maman a vraiment besoin !
Plus que la perfection
Une mère qui vient d’accoucher n’a pas besoin d’être parfaite. Elle a besoin de sécurité, de douceur, de repos, d’écoute et de mains tendues.
Le droit de tâtonner
Elle a besoin qu’on lui rappelle qu’elle a le droit de :
- ne pas savoir,
- tâtonner,
- se tromper,
- ressentir à la fois fatigue, amour, peur et bonheur.
Ces premiers jours et semaines sont fragiles mais précieux. C’est là que se construit doucement la confiance en soi et le lien avec le bébé. Il ne s’agit pas de performance, mais d’accompagnement respectueux du rythme de chacune.
La société doit changer de regard
Ce n’est pas elle qu’il faut évaluer
Ce n’est pas la maman qu’il faut juger, c’est la société qu’il faut rééduquer. Il faut qu’elle cesse de projeter des attentes irréalistes sur les jeunes mamans.
L’importance de la bienveillance
Chaque geste de soutien, chaque parole bienveillante, chaque attention compte. Chaque maman mérite d’entendre :
« Tu as le droit de ne pas tout savoir.
Tu as le droit de prendre ton temps.
Tu fais du mieux que tu peux, et c’est suffisant. »
Une question à méditer
Et vous ?
Et vous, qu’est-ce qu’on a attendu de vous trop tôt, trop fort, trop souvent ?